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Реферат: La drogue


L'ecstasy appartient à la famille des amphétamines. Ce produit fait partie d'une nouvelle série de produits apparus avec l'évolution de la chimie : les drogues de synthèse. Elles sont fabriquées dans des laboratoires clandestins par des chimistes qui tentent de créer des produits inédits en faisant la synthèse de molécules dont l'action est beaucoup plus puissante que celle des substances naturelles. L'apparition massive de l'ecstasy est liée à l'émergence du mouvement musical techno et l'organisation de rave parties.


Depuis une dizaine d'années, on assiste en Europe à un développement de la consommation d'ecstasy. En France, en 1996, 5% des jeunes hommes de 18 à 23 ans vus dans les centres de sélection du service national déclaraient avoir déjà pris de l'ecstasy et la proportion de jeunes adultes (principalement des hommes, bien insérés socialement) en ayant consommé au moins une fois pourrait atteindre 5 %.

L'ecstasy se présente sous la forme de comprimés de couleurs et de formes variées ornées d'un motif. Son principe actif responsable des effets psychoactifs est la MDMA (" 3,4 méthylènedioxyméthamphétamine ").
Lorsqu'ils consomment de l'ecstasy, les usagers disent qu'ils gobent.

Un comprimé d'ecstasy contient de quelques milligrammes à plus de 200 mg de MDMA. La composition d'un comprimé présenté comme étant de l'ecstasy est souvent incertaine : la molécule MDMA n'est pas toujours présente et peut être mélangée à d'autres substances : amphétamines, analgésiques (substance qui atténue ou supprime la douleur), hallucinogènes, anabolisants. L'ecstasy peut également être coupé avec de la caféine, de l'amidon, des détergents, du savon… !

Effets et dangers de l'ecstasy

Les usagers d'ecstasy recherchent la sensation d'énergie, de performance et la suppression de leurs inhibitions (les blocages, les défenses et les interdictions tombent). A l'effet de plaisir et d'excitation s'ajoute une sensation de liberté dans les relations avec les autres. L'ecstasy provoque tout d'abord une légère anxiété, une augmentation de la tension artérielle, une accélération du rythme cardiaque et la contraction des muscles de la mâchoire ; la peau devient moite, la bouche sèche. Suit une légère euphorie, une sensation de bien-être et de plaisir. Elle s'accompagne d'une relaxation, d'une exacerbation des sens et d'une impression de comprendre et d'accepter les autres.

L'usage de l'ecstasy provoque une déshydratation de l'organisme. La consommation régulière d'eau est nécessaire, surtout si le consommateur se trouve dans une ambiance surchauffée et fait un effort physique important.

Cette substance devient plus dangereuse si elle est consommée simultanément avec d'autres substances psychoactives (alcool, médicaments). Le risque de complication semble augmenter avec la dose " gobée ", la composition du produit et la vulnérabilité de l'usager. Les personnes qui suivent un traitement médical s'exposent à des effets dangereux par les interactions médicamenteuses qui peuvent se produire, notamment avec certains médicaments anti-VIH, l'aspirine et certains antidépresseurs.

La consommation d'ecstasy est particulièrement dangereuse pour les personnes qui souffrent de troubles du rythme cardiaque, d'asthme, d'épilepsie, de problèmes rénaux, de diabète, d'asthénie (fatigue) et de problèmes psychologiques.

Il arrive que l'usager ressente, trois ou quatre jours après la prise, des passages à vide qui peuvent provoquer des états d'anxiété ou de dépression nécessitant une consultation médicale.

Une consommation régulière et fréquente amène certains à maigrir et s'affaiblir ; l'humeur devient instable, entraînant parfois des comportements agressifs. Pour quelques-uns, cette consommation peut révéler ou entraîner des troubles psychiques sévères et durables.

Les dommages de l'ecstasy sur le cerveau sont encore mal connus ; les travaux scientifiques établissent une possible dégénérescence des cellules ; elle pourrait être irréversible et entraîner à terme des maladies dégénératives comme la maladie de Parkinson ou des troubles cognitifs responsables d'une dépression.

Ecstasy et dépendance

Chez certains usagers, l'ecstasy peut provoquer une dépendance psychique. Pour ce qui concerne la dépendance physique, les appréciations varient selon les experts.

L'ecstasy est un produit illicite.

La MDMA a été synthétisée par les laboratoires Merck en 1912 qui avaient engagé des recherches dans un but militaire : il s'agissait de potentialiser certains effets des amphétamines (effets coupe-faim et contre le sommeil). L'ecstasy n'a jamais obtenu d'autorisation de mise sur le marché. On a ponctuellement utilisé la MDMA en psychiatrie dans les années 1970 en Californie. Cette pratique a été rapidement interrompue au vu des dommages qu'elle causait. A partir des années 70 aux Etats Unis et plus récemment en Europe, la MDMA est utilisée à des fins récréatives, lors de soirées et de raves parties. L'usage d'ecstasy est en constante progression.

le LSD

Autre produit de synthèse, le LSD 25 ou diéthylamide de l'acide lysergique est obtenu à partir de l'ergot de seigle. Il se présente sous la forme d'un buvard (papier imbibé), d'une " micropointe " (ressemblant à un bout de mine de crayon) ou sous forme liquide. Un " trip " contient en 50 et 400 microgrammes, voire plus, de LSD 25.
Le LSD est un hallucinogène puissant. Il entraîne des modifications sensorielles intenses, provoque des hallucinations, des fou rires incontrôlables, des délires. Ces effets, mentalement très puissants, sont très variables selon les individus.

Un " trip " dure entre 5 et 12 heures, parfois plus longtemps.
La redescente peut être très désagréable ; l'usager peut être dans un état confusionnel pouvant s'accompagner d'angoisses, de crises de panique, de paranoïa, de phobies, de bouffées délirantes. L'usage de LSD peut générer des accidents psychiatriques graves et durables.

le LSD est un produit illicite

Les Amphétamines

L'amphétamine ou speed (ou ice ou cristal) est un psycho-stimulant puissant, un hallucinogène et un coupe-faim. Il se présente sous forme de cachets à gober ou de poudre à sniffer ou à gober dans du papier. Il est très souvent coupé avec d'autres produits.
L'amphétamine est souvent consommée en association avec de l'alcool ou d'autres substances psychoactives comme l'ecstasy.
Stimulant physique, il donne la sensation de supprimer la fatigue et l'illusion d'être invincible. Ses effets durent plusieurs heures.
La consommation d'amphétamine peut entraîner une altération de l'état général par la dénutrition et par l'éveil prolongé conduisant à un état d'épuisement, une grande nervosité, et, parfois, des troubles psychiques (psychose, paranoïa). On peut assister à l'apparition de problèmes cutanés importants (boutons, acné majeure).
La descente peut être difficile, provoquer une crispation des mâchoires, des crises de tétanie, des crises d'angoisses, un état dépressif, et comporter des risques suicidaires. Ce produit s'avère très dangereux en cas de dépression, de problèmes cardio-vasculaires et d'épilepsie.

L'amphétamine est un produit illicite.

Consommation : les chiffres d'une réalité française


·     Moins de 1% des adultes de 18 à 75 ans, soit 290 000 adultes déclarent avoir pris de l'ecstasy dans leur vie.

·     En 1996, 5% des jeunes hommes de 18 à 23 ans vus dans les centres de sélection du service national déclaraient avoir déjà pris de l'ecstasy.

·     De 0,5 à 1,5% des jeunes de 15 à 19 ans, soit entre 20 000 et 59 000 jeunes, déclarent avoir consommé de l'ecstasy au cours de l'année.

·     3 % des lycéens parisiens l'ont expérimenté.

·     L'ecstasy est cité comme produit à l'origine de la prise en charge dans les structures spécialisées en toxicomanie et les établissements sanitaires dans 2% des cas en 1997. L'âge moyen de ces usagers est de 23 ans.

·     L'ecstasy est en cause dans un peu plus de 1% des interpellations pour usage et usage -revente (près de 1 000 personnes) en 1998. L'âge moyen de ces usagers interpellés est de 23 ans.

·     199 personnes ont été interpellées pour trafic d'ecstasy en 1998.



La cocaïne

La drogue des riches, des jeunes gens pressés et des rock stars dit-on… C'est peut-être toujours vrai, mais ce qui est sûr c'est que la consommation augmente et que les usagers ne sont plus seulement ceux-là.

La cocaïne qu'est-ce que c'est, et à quoi ça ressemble ?

cocaine


La cocaïne se présente sous la forme d'une fine poudre blanche. Elle est le résultat de la distillation des feuilles de cocaïer préalablement séchées.
Elle est principalement prisée (la ligne de coke est " sniffée " à l'aide d'une paille) ; elle est également injectée par voie intraveineuse et fumée.

La cocaïne est parfois frelatée, coupée ou mélangée à d'autres substances, ce qui accroît sa dangerosité et potentialise les effets et les interactions entre les produits.

Effets et dangers de la cocaïne

L'usage de cocaïne provoque une euphorie immédiate, un sentiment de puissance intellectuelle et physique et une indifférence à la douleur et à la fatigue. Ces effets vont laisser place ensuite à un état dépressif et à une anxiété que certains apaiseront par une prise d'héroïne ou de médicaments psychoactifs.
La cocaïne provoque une contraction de la plupart des vaisseaux sanguins. Insuffisamment irrigués, les tissus s'appauvrissent et, par conséquent, se nécrosent. C'est souvent le cas de la cloison nasale avec des lésions perforantes chez les usagers réguliers.

La cocaïne provoque des troubles du rythme cardiaque. Ils peuvent être à l'origine d'accidents cardiaques, notamment chez des personnes fragiles et / ou qui consomment de fortes quantités de tabac. D'autant que la consommation de tabac, comme celle de l'alcool, est souvent augmentée lors des prises de cocaïne.

Chez les personnes les plus fragiles, l'usage de cocaïne peut provoquer des troubles psychiques, une grande instabilité d'humeur, des délires paranoïdes (notamment au bruit) ou des attaques de panique. En accroissant l'activité psychique, la cocaïne provoque des insomnies, des amnésies et des phases d'excitation.
Par ailleurs, les pailles utilisées pour " sniffer " peuvent transmettre les virus des hépatites A,B et C si elles sont partagées par plusieurs usagers.

Cocaïne et dépendance

Excitant puissant, la cocaïne provoque une dépendance psychique importante. Une fois commencée, il est difficile d'arrêter une consommation aiguë de cocaïne, tant la nécessité d'en reprendre est importante. D'autant qu'au contraire de l'héroïne ou du cannabis, il n'y a pas d'apaisement possible avec la consommation d'une autre substance.
Une autre caractéristique de la cocaïne est de lever les inhibitions. Cette sensation de " toute-puissance " entraînée par la cocaïne en fait un produit qui risque d'engendrer des passages à l'acte.

La cocaïne est un produit illicite.

Originaire des Andes, le cocaïer est un arbrisseau cultivé en Amérique du Sud, en Indonésie et dans l'Est africain. Dans les pays andins, les feuilles de coca sont consommées sous forme d'une chique que l'on mastque pendant quelques heures. La muqueuse buccale, puis l'œsophage et l'estomac sont anesthésiés : l'usager ne ressent alors plus la faim. Certains ont vu également dans cet usage une manière de se protéger du froid des altitudes.
Dans les sociétés précolombiennes, la coca servait de plante médicinale, de drogue stimulante, d'objet rituel et de taxe d'imposition. Au début du 16è siècle, les conquérants espagnols donnèrent ce stimulant aux indigènes qu'ils exploitaient dans les mines et qui leur permettait de mieux supporter leurs dures conditions de travail.
En 1865, un chimiste autrichien élucide la formule brute de la cocaïne ; dix ans plus tard, des dérivés de la cocaïne sont utilisés pour les anesthésies locales. Dès 1880 aux Etats-Unis, la cocaïne devient populaire. Elle est administrée comme tonique et comme désintoxiquant de l'alcool, l'opium et la morphine.
Depuis les années 30, la consommation de cocaïne s'est progressivement répandue notamment sous l'impulsion des cartels sud-américains qui cherchent à écouler une production importante.


Consommation : les chiffres d'une réalité française


·     Près de 2% des adultes de 18 à 44 ans (environ 450 000 personnes) déclarent avoir consommé au moins une fois dans leur vie de la cocaïne. Cependant, il est vraisemblable que les consommations de drogues illicites, et tout particulièrement celles de substances comme la cocaïne, l'héroïne ou l'ecstasy, ne soient pas toujours déclarées dans les enquêtes en population générale.

·     entre 0,8 et 1,9% des jeunes de 15 à 19 ans (soit entre 32 000 et 74 000 personnes) déclarent consommer de la cocaïne au moins une fois dans l'année.

·     La cocaïne apparaît comme produit à l'origine de la prise en charge dans 13% des recours aux structures de soins en 1997, le plus souvent comme produit associé. L'âge moyen des usagers de cocaïne pris en charge dans les établissements sanitaires et sociaux était de 29 ans en 1997.

·     Neuf cas de décès par surdose liés à l'usage de cocaïne ont été recensés par les services de police en 1998.

·     3 180 personnes ont été interpellées pour usage ou usage-revente de cocaïne en 1998, ce qui représente 3,7% de l'ensemble des interpellations pour usage de stupéfiants. Le nombre de ces interpellations est en augmentation. Les usagers de cocaïne interpellés avaient en moyenne 29 ans.

·     Près de 1 000 personnes ont été interpellées en 1998 pour trafic de cocaïne.

Tendance statistique : la consommation de cocaïne est en augmentation. Elle n'est plus limitée à certains milieux aisés dans lesquels elle paraissait cantonnée.

 

CRACK

Un dérivé de la cocaïne : le crack

Le crack est un mélange de cocaïne, de bicarbonate de soude et d'ammoniaque qui se présente sous la forme de petits cailloux. L'usager en inhale la fumée après les avoir chauffés. (Cette opération provoque des craquements, ce qui lui a donné son nom.)

Le mode de consommation du crack provoque des effets plus intenses que ceux de la cocaïne : le produit arrive plus rapidement au cerveau, mais la durée de son effet est plus brève.

CRACK


L'usage régulier de crack peut provoquer des hallucinations et entraîner des comportements violents, des épisodes paranoïdes ou encore des états suicidaires. Parmi les conséquences physiques de l'usage régulier de crack, on peut noter un effet rapide sur le cerveau, de graves altérations des voies respiratoires ainsi que des arrêts cardiaques ou respiratoires pouvant provoquer la mort. La consommation régulière de crack entraîne rapidement une forte dépendance physique et psychique. Les usagers, même après avoir cessé d'en consommer, restent souvent soumis à des altérations de l'humeur et connaissent pendant plusieurs mois une certaine dépendance et des épisodes de rechute éventuels.

L'Héroïne

Tout savoir sur une substance dont le nom fait déjà peur. Pourquoi ?

héroine

L'héroïne qu'est-ce que c'est, et à quoi ça ressemble ?

L'héroïne est un opiacé puissant, obtenu à partir de la morphine. Les opiacés sont des substances naturelles contenues dans le latex (opium) recueilli sur une plante, le pavot. L'héroïne se présente sous la forme d'une poudre. Elle est la plupart du temps injectée en intraveineuse, après dilution et un chauffage du produit. (Les pratiques d'injection semblent en baisse.) L'héroïne est aussi sniffée et fumée.

L'injection entraîne des risques d’infection (notamment par les virus du sida et des hépatites) si l'usager ne se sert pas d'un matériel d'injection stérile et à usage unique. Depuis la mise en vente libre des seringues en 1987 et des kits de prévention, la contamination par le VIH a baissé de manière très significative. Diverses études montrent que les partages de seringues et les nouvelles contaminations VIH ont fortement diminué chez les usagers de drogues par voie intraveineuse.

En effet, en 1995, les toxicomanes représentaient le deuxième groupe le plus touché avec 23,7 % des cas de sida cumulés. On constate une diminution importante dès 1996. Malgré ces progrès, aujourd'hui plus d'un usager de drogue par voie intraveineuse cinq demeure infecté par le VIH. Le nombre de personnes contaminées par le virus de l'hépatite C reste important puisqu'il représente 60 à 80 % des usagers de drogue par voie intraveineuse.

Effets et dangers de l'héroïne

L'héroïne provoque l'apaisement, l'euphorie et l'extase. Elle agit comme anxiolytique puissant et comme antidépresseur. Les effets recherchés peuvent traduire un mal-être psychique, une souffrance, un besoin d'oubli.

L'effet immédiat de l'héroïne est de type " orgasmique ". C'est le " flash ". Il est suivi d'une sensation d'euphorie puis de somnolence, accompagnée parfois de nausées, de vertiges, et d'un ralentissement du rythme cardiaque.
En cas d'usage répété, le plaisir intense des premières consommations ne dure en général que quelques semaines. Cette phase peut être suivie d'un besoin d'augmenter la quantité du produit et la fréquence des prises. La place accordée à cette consommation est telle qu'elle modifie la vie quotidienne de l'usager. Des troubles divers apparaissent dont l'anorexie et l'insomnie. La dépendance s'installe rapidement dans la majorité des cas. L'héroïnomane oscille entre des phases " euphoriques " (lorsqu'il est sous l'effet de l'héroïne) et des phases de manque où il apparaît anxieux, agité.

La dépendance à l'héroïne entraîne des risques sociaux importants. Elle enclenche un processus de marginalisation chez certains usagers.

L'héroïne est un produit illicite.

Soins et traitements de substitution

A défaut de pouvoir parvenir à l'abstinence, l'héroïnomane peut bénéficier de soins(sevrage, suivi psycho-social) et d'un traitement de substitution. Celui-ci a pour objectif de stabiliser la dépendance de manière médicale et légale. Ces traitements à la Méthadone ou au Subutex sont administrés par voie buccale. Ils sont prescrits soit dans les centres de soins spécialisés aux toxicomanes, soit en médecine de ville.

Le bilan des programmes de substitution montre une amélioration notable de l'état de santé des personnes ainsi que de leur stabilisation sociale et de leur insertion professionnelle. Parallèlement, entre 1994 et 1998, le nombre de surdoses mortelles a fortement diminué, passant de 564 à 143, dont 92 à l'héroïne (les autres décès étant liés aux polyconsommations).

En 1888, un chimiste allemand préconise d'employer l'héroïne synthétisée pour soigner la tuberculose. Médication " héroïque ", elle est considérée comme susceptible de se substituer à la morphine dans le traitement des douleurs et de la toux. Rapidement, son utilisation est abusive.
En 1923, la Société des Nations déclare le produit dangereux et de faible intérêt thérapeutique. En 1924, l'utilisation non médicale de l'héroïne est prohibée aux Etats-Unis ; elle y sera totalement interdite en 1956 et en 1963 en France. Certains pays continuent à l'utiliser dans les pratiques médicales. Son utilisation légale est variable selon les pays. Sa prescription est prohibée en France ; elle est expérimentée dans certains pays, notamment la Suisse et l'Australie, dans le cadre d'une politique de réduction des risques.

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